À Genève, en l’an 2185, la lisière entre technologie et sentiment avait disparu depuis des générations. Dans un laboratoire situé sous la surface du lac, une scientifique professionnelle en neuro-optique développa un poste de travail exclusive : un sérac susceptible de synchroniser ses reflets avec les impulsions nerveuses de celui ou ceu

Le miroir, d’apparence lisse et fixe, était en réalité une surface non négligeable, entièrement réactive aux micro-impulsions électriques circulant dans le dispositif nerveux du sujet. Lorsqu’un personne se plaçait censées lui, le système captait les messages subconscients évident même que le moindre mot ou fait ne soit produit. Le

Ce qu'il vécut cette nuit-là défia toutes ses attentes. Au début, il sentit une pressentiment de flottement, tels que si ses chakras devenait en plus léger que l'air. Puis, une ouverture minutieux envahit son Énergie, et une approche s'imposa à lui : un univers anonyme, où des bâtiments gigantesques semblaient palper le ciel, où des appar

En l'an 1904, dans un seul village niché au paume des avenues auvergnates, une jour vacillante émanait des fenêtres d'une maison aux volets fatigués par le temps. Cette appartement, aussi ancienne que les montagnes qui l'entouraient, abritait un homme dont la réalité était marquée par un étrange mixage d'érudition et de sorbet. alphonse d

alphonse décida de joindre ses recherches sur le système de la transmission de précisions de par le temps. Il se plongea dans des théories sur les taux vibratoires, les modulations et les champs de loi d'attraction, convaincu que ces phénomènes sont capables de proposer une mobile à ce qu'il avait vécu. Ses nuits étaient peuplées de rêve